Nerds Can Dance #1 signe le 2ème volet récréatif d’Electroni[k]. Cette édition s’est déroulée le 17 mars 2006 à l’UBU à Rennes en before des Nuits Sonores.
Les artistes
Electroni[k] n’est pas la côte ouest, mais Terp, son plus fidèle représentant, est revenu une nouvelle fois incendier l’UBU. L’esprit clubber en feu était donc exigé pour apprécier ce live pompier où se sont succédées ses implacables hymnes fluodances.
Jeune producteur affilié au label institubes, Surkin, enfant illégitime de la french touch et de la ghetto tech U.S, débarque en 2006 avec 2 maxis et un set dj/laptop ravageur, véritable blind test épileptique où se côtoient house, crunk, booty et électro pour un résultat des plus jouissif.
Ce nom ne vous évoque peut être rien, pourtant Sebastian, tout comme ses colocataires de label, Justice et Krazy Baldhead s’impose doucement mais surement sur la scène électronique avec son e.p et ses divers remixs. À la manière de ses productions techno-cutées percutantes, son dj set n’a laissé personne sur place.
En gueuleton, Electroni[k] s’offre No Gueule (On Ne Danse Pas crew), combo de selecteurs discoïdes pour un warm-up nowavo-électro-funk.
En images
Pour Nerds Can Dance #1, c’est Ghetto Echo qui s’empare de l’identité visuelle de la soirée.